Le time-blocking pour enfin être efficace et finir ce que vous commencez - 1 - Définition
Quelle est ma définition du time-blocking ?
Le time-blocking est une manière d'organiser son temps...
Car oui, nous sommes tous, avant tout, limités par notre temps, moi le premier.
Pas par mon cerveau, car j'ai l'arrogance de penser que le potentiel de mon cerveau et de ma capacité d'apprendre est bien plus grand que ce que mes connaissances actuelles ne pourraient le laisser supposer.
Pas par ma volonté, mon envie ou ma motivation, car je n'en manque pas : j'ai envie de progresser et de réussir, même s'il peut m'arriver de me déconcentrer et de partir loin loin loin dans les méandres d'internet, d'Amazon, de slack ou Discord, et je suis prêt à faire ce qu'il faut, ou en tout cas c'est ce dont j'essaie de me convaincre.
Par contre, avec mon métier d'enseignant, avec une compagne merveilleuse et deux enfants magnifiques mais qui demandent, bien logiquement, un certain paquet d'attention, je suis très certainement limité par le temps que j'ai ou que je décide de prendre pour la chaîne Youtube et les produits que je crée, que ce soient des formations, le Bullet Journal ou les livres.
Et ce pauvre temps qui m'est donné ou que je décide de prendre, toute la question de la productivité ou mieux, de l'efficience dont je parle depuis quelque temps déjà, consiste à l'utiliser de manière à obtenir des résultats (encore faut-il déterminer les résultats attendus) en un temps suffisant ou déterminé (encore faut-il être capable de déterminer combien de temps est suffisant) sans prendre de mauvais raccourcis, qu'ils soient pratiques ou moraux.
Pas par mon cerveau, car j'ai l'arrogance de penser que le potentiel de mon cerveau et de ma capacité d'apprendre est bien plus grand que ce que mes connaissances actuelles ne pourraient le laisser supposer.
Pas par ma volonté, mon envie ou ma motivation, car je n'en manque pas : j'ai envie de progresser et de réussir, même s'il peut m'arriver de me déconcentrer et de partir loin loin loin dans les méandres d'internet, d'Amazon, de slack ou Discord, et je suis prêt à faire ce qu'il faut, ou en tout cas c'est ce dont j'essaie de me convaincre.
Par contre, avec mon métier d'enseignant, avec une compagne merveilleuse et deux enfants magnifiques mais qui demandent, bien logiquement, un certain paquet d'attention, je suis très certainement limité par le temps que j'ai ou que je décide de prendre pour la chaîne Youtube et les produits que je crée, que ce soient des formations, le Bullet Journal ou les livres.
Et ce pauvre temps qui m'est donné ou que je décide de prendre, toute la question de la productivité ou mieux, de l'efficience dont je parle depuis quelque temps déjà, consiste à l'utiliser de manière à obtenir des résultats (encore faut-il déterminer les résultats attendus) en un temps suffisant ou déterminé (encore faut-il être capable de déterminer combien de temps est suffisant) sans prendre de mauvais raccourcis, qu'ils soient pratiques ou moraux.
... basée sur des blocs positionnés à l'avance sur un calendrier...
Et c'est justement là que les blocs de temps pouvaient représenter, à mes yeux, une solution.
La première chose qu'ils permettent, c'est de choisir, à l'avance, avec un plan, sans se laisser le choix, ou en tout cas pas au moment même, ce qu'on va faire.
Ne pas se laisser le choix au dernier moment, c'est le premier pas pour éviter la procrastination. On sait ce qu'on va faire, et il n'y a pas à revenir là-dessus. On ne devrait pouvoir changer que les blocs de demain, pas ceux d'aujourd'hui. Ce qu'on a décidé de faire aujourd'hui, faisons-le pendant le temps prévu, et ce qui était prévu.
Nous allons tenter de nous mettre dans une sorte de situation d'urgence : il faut que je finisse ça avant la fin du bloc.
J'en profite pour glisser ici qu'il n'est pas nécessaire d'acheter un quelconque logiciel ou template, une quelconque app, pour se lancer dans le time-blocking. Quelque part, vous pourriez même ne pas du tout avoir besoin d'un ordinateur. J'ai utilisé Google Agenda, Fantastical et le simple calendrier intégré à macOs pour préparer mes journées et ça m'a très bien suffi.
Là où j'aurais peut-être pu aller encore plus loin, c'est dans la gestion de mes blocs à travers mes tâches dans Notion, grâce à l'API.
La première chose qu'ils permettent, c'est de choisir, à l'avance, avec un plan, sans se laisser le choix, ou en tout cas pas au moment même, ce qu'on va faire.
Ne pas se laisser le choix au dernier moment, c'est le premier pas pour éviter la procrastination. On sait ce qu'on va faire, et il n'y a pas à revenir là-dessus. On ne devrait pouvoir changer que les blocs de demain, pas ceux d'aujourd'hui. Ce qu'on a décidé de faire aujourd'hui, faisons-le pendant le temps prévu, et ce qui était prévu.
Nous allons tenter de nous mettre dans une sorte de situation d'urgence : il faut que je finisse ça avant la fin du bloc.
J'en profite pour glisser ici qu'il n'est pas nécessaire d'acheter un quelconque logiciel ou template, une quelconque app, pour se lancer dans le time-blocking. Quelque part, vous pourriez même ne pas du tout avoir besoin d'un ordinateur. J'ai utilisé Google Agenda, Fantastical et le simple calendrier intégré à macOs pour préparer mes journées et ça m'a très bien suffi.
Là où j'aurais peut-être pu aller encore plus loin, c'est dans la gestion de mes blocs à travers mes tâches dans Notion, grâce à l'API.
... qui permettent d'accorder 100% de son attention à une tâche
Loin de me stresser, cette obligation que je me mets me pousse à donner le meilleur de moi-même sur le temps que j'ai. Le fait de savoir que j'ai un temps défini me pousse à ne pas laisser mon esprit vagabonder.
Je n'ai pas le temps dont j'ai besoin, ou dont je crois avoir besoin ou même que je voudrais prendre pour effectuer cette tâche. J'ai le temps que j'ai reçu, point barre, même si, dans un moment un peu schizophrénique, c'est mon moi-même d'hier qui m'a donné ce temps d'aujourd'hui...
Je ne me suis laissé aucune chance, aucune échappatoire. Je dois me mettre à 100% sur ma tâche pour éviter l'échec. Reste à définir l'échec. L'échec ne serait pas de ne pas avoir réussi à accomplir complètement la tâche.
L'échec, ce serait de ne pas y avoir mis toute mon énergie. Ça, c'est l'échec.
Le fait de ne pas y être arrivé, si j'ai mis toute mon énergie et que j'ai tenté de faire les choses du mieux possible, ce n'est pas un échec, c'est un moment d'apprentissage.
J'apprends à mieux estimer le temps nécessaire à l'accomplissement d'une tâche, j'apprends à automatiser certaines tâches ou procédures qui prennent trop de temps, je rends un processus plus efficient en l'améliorant par itération.
Je n'ai pas le temps dont j'ai besoin, ou dont je crois avoir besoin ou même que je voudrais prendre pour effectuer cette tâche. J'ai le temps que j'ai reçu, point barre, même si, dans un moment un peu schizophrénique, c'est mon moi-même d'hier qui m'a donné ce temps d'aujourd'hui...
Je ne me suis laissé aucune chance, aucune échappatoire. Je dois me mettre à 100% sur ma tâche pour éviter l'échec. Reste à définir l'échec. L'échec ne serait pas de ne pas avoir réussi à accomplir complètement la tâche.
L'échec, ce serait de ne pas y avoir mis toute mon énergie. Ça, c'est l'échec.
Le fait de ne pas y être arrivé, si j'ai mis toute mon énergie et que j'ai tenté de faire les choses du mieux possible, ce n'est pas un échec, c'est un moment d'apprentissage.
J'apprends à mieux estimer le temps nécessaire à l'accomplissement d'une tâche, j'apprends à automatiser certaines tâches ou procédures qui prennent trop de temps, je rends un processus plus efficient en l'améliorant par itération.
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